martes, 6 de marzo de 2012

Más verdades sobre lo que ocurre en Siria

Hace tiempo que la partida estaba perdida. El veto de Rusia y China fue el detonante. La política de no ingerencia y evitar una nueva versión de Libia, con más muertes y otro país destrozado y dominado por el Imperio mediante terroristas, terminó con visitas de muy alto nivel de la jerarquía Rusa a Siria imponiendo su mediación y final al conflicto. Ya se habían cruzado las lineas rojas, y se dio el visto bueno a terminar con todos los insurrectos armados y criminales terroristas.
La cumbre de los amigos de Siria fue un fracaso estrepitoso a pesar de las amenazas de la sionista Clinton.
Por aquél entonces ya se había destapado el pastel y era el último recurso. Fracasó.

Ahora es cuando empiezan a salir a la luz en la prensa no oficial detalles más concretos de las jugadas de propaganda. Libia estaba aislada y con la bendición de la ONU la masacraron.
Siria es distinto.

5 preguntas a Thierry Meyssn sobre Baba Mar 6/3/2012




Le « journaliste » Paul Conroy, agent opérationnel du MI6


RÉSEAU VOLTAIRE | 6 MARS 2012


Présenté comme reporter photographe au Sunday Times, Paul Conroy, qui vient de s’échapper de l’Émirat islamique de Baba Amr, est un agent du MI6 britannique.

Sur cette photo, on le voit en Libye (en gilet pare-balles bleu) avec les dirigeants d’Al-Qaeda : à sa droite Mahdi al-Harati (en gilet pare-balles noir) et Abdelhakim Belhaj (en vareuse camouflée).

• Mahdi al-Harati a épousé une Irlandaise et a vécu à Dublin. Paul Conroy est Irlandais du Nord, élevé à Liverpool.

Selon l’ancien Premier ministre José Maria Aznar, Mahdi al-Harati est toujours recherché en Espagne pour son implication dans les attentats de Madrid du 11 mars 2004.

En 2010, avec une barbe plus soignée et la couverture d’une ONG, Mahdi al-Harati était infiltré par le MI6 au sein de la « Flottille de la Liberté » qui tenta d’apporter de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza.

Mahdi al-Harati dirigeait la brigade d’Al-Qaeda qui assiégea l’hôtel Rixos de Tripoli, en août 2011. Selon Khamis Kadhafi, il était encadré par des instructeurs français. Selon une source militaire étrangère de très haut niveau, al-Harati avait reçu pour mission de l’OTAN de capturer les dirigeants libyens réfugiés dans une facilité secrète de l’hôtel, et d’assassiner dans l’hôtel l’ex-congressman et assistant de Martin Luther King, Walter Fauntroy. Il devait aussi éliminer les deux collaborateurs du Réseau Voltaire Thierry Meyssan et Mahdi Darius Nazemroaya qui résidaient à l’hôtel Radisson, où al-Harati installa son centre de torture. Cette décision avait été prise lors d’une réunion restreinte au commandement de l’OTAN à Naples quelques jours plus tôt. Le compte-rendu fait mention de la présence à cette réunion d’Alain Juppé. Interrogé à ce sujet, son secrétariat dément toute participation du ministre français des Affaires étrangères et indique qu’il était en vacances à cette date.

En octobre 2011, Mahdi al-Harati a mis en scène en Syrie, un village témoin situé dans la montagne à la frontière turque. Durant deux mois, il y a reçu des reporters occidentaux pour leur vanter la « révolution » syrienne. Le village est habité par une tribu qui était rémunérée pour jouer des manifestations et poser pour la presse. Al-Harati y a notamment reçu Paul Moreira deCanal Plus et Édith Bouvier du Figaro.




• Abdelhakim Belhaj est le bras droit d’Ayman al-Zawahiri, et l’actuel numéro 2 d’Al-Qaida. Bien qu’il soit officiellement toujours un des criminels les plus recherchés dans le monde, il a été promu par l’OTAN gouverneur militaire de Tripoli.

Abdelhakim Belhaj dispose d’un titre de résident au Qatar.

Abdelhakim Belhaj a effectué récemment plusieurs séjours en Turquie, où il a disposé d’un bureau sur la base de l’OTAN à Incirlik, et en Syrie où il a infiltré plusieurs groupes jusqu’à atteindre un total de 1 500 combattants. Selon Ayman al-Zawahiri, ses hommes ont notamment perpétré les attentats de Damas et d’Alep.

Son organisation, le Groupe islamique combattant en Libye, a fusionné avec Al-Qaeda mais figure toujours sur la liste des organisations terroristes du Département d’État US et du Département de l’Intérieur Britannique.

En s’associant à des terroristes reconnus, Conroy tombe sous le coup de la loi à la fois aux États-Unis et au Royaume-Unis pour soutien ou association à un groupe terroriste. Il encourt 15 ans de prison, sauf à faire valoir son immunité en excipant de sa qualité d’agent de Sa Majesté.